Jean-François Floch

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    • 5 déc. 2017
    • 12 Min

    Tahar ou la légende des hommes

    Conte (1997) extraits / tous droits réservés Jean-François Floch – C’est qui le gus qui a eu la bonne idée de venir nous enterrer ici ? – C’est moi ! J’ai demandé à vos parents de vous envoyer ici,… seul avec moi, et le causse ! – C’est vide ton coin Papé, tu aurais pu choisir plus passant ! – C’est où qu’on va dormir Papy ? – On va dormir le jour et vivre la nuit. – Y’a une boîte ici ? – Il y a le rêve, Olivier, le rêve sans limites. – Tu parles d’une nouvelle ! – Ou
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    • 7 oct. 2017
    • 6 Min

    Le destin du petit blanc – Extrait du coureur de Brousse – Jean-François Floch

    Le destin du petit blanc Au matin, j’étais terriblement angoissé, je ne savais pas pourquoi, mais j’avais les larmes aux yeux, la gorge nouée. Je n’osais pas prendre le départ avant mon tour, mais à peine le bras du commissaire de course baissé, j’avais compris que je ne m’arrêterai pas à l’arrivée et que ma route me conduirait ailleurs. J’avais peut-être fait un chrono ce jour-là. Oui sans doute, car je roulais comme un fou dans ce jardin géant. J’ai dû éviter un photographe
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    • 7 oct. 2017
    • 20 Min

    Ceux du monde des arbres. Extrait du Romain Le coureur de Brousse -par Jean-François Floch

    Ceux du monde des arbres Ce son, était-il dans ma tête ? Non, je devais arrêter de penser, le son devait être réel. Ma tête avait oublié le réel, loin dans le temps, il ne lui restait que ce son, c’était un balafon, le bois vibrait comme ma peau,… Le mouvement gagnait le corps, les os, le coeur. Le balafon, non, le tam-tam, le son allait et venait dans ma tête. Ils étaient deux, le tam-tam lui répondait, le balafon lui donnait le ton. Le son m’envahissait, il fuyait et ressur
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    • 7 oct. 2017
    • 18 Min

    Le coureur de brousse – Roman (1991/2006) Jean-François Floch

    extrait / tous droits réservés /Jean-François Floch A l’Afrique qui un jour se relèvera de ses cendres pour constater quelle n’est plus ! J’ai été un homme libre De ces mondes lointains je ne veux conserver qu’un mode de pensée, un regard sur la vie, un espoir aussi de n’être pas qu’un pion, un numéro, une hypothèse,… Mélange de cultures, regard inquisiteur tout autant que détaché, je circule dans le réel avec les yeux d’un rêveur, je décris le vivant avec les mots d’un cont
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    • 6 oct. 2017
    • 30 Min

    Ahmed, Akhmed, Mohammed et Jean-François – UN MONDE DE FEMME

    Aux femmes qui m’ont appris à aimer les femmes. Roman (1996/2006) extraits / tous droits réservés Jean-François Floch Sur une terre de partage En ville, la journée achevée, je pénétrais un nouveau monde des mélanges, non plus celui des nombreuses ethnies de ma zone, mais celui des Arabes, des Européens et des Africains qui s’agglutinaient autour des cinémas et de ces boutiques aux éclairages crus, voire criards, où l’on pouvait acheter un Chawarma. Les Européens venaient le
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    • 6 oct. 2017
    • 8 Min

    L’homme qui avait oublié de mourir. Jean-François Floch 2006-2007

    Il devait bien avoir cent soixante dix ans, peut-être même deux cent ou plus encore… Sa vie n’était pas de celles qui font rêver, ni même de celles que l’on peut citer en exemple. De mémoire d’homme, sa vie n’avait été que normale, totalement normale, terriblement normale, vulgairement normale. De ses quelques chèvres, il retirait juste assez de lait pour confectionner suffisamment de fromage pour tenir d’une année sur l’autre. Des dattes à la saison, des olives le reste de
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    • 6 oct. 2017
    • 11 Min

    UNE ENVIE COULEUR DE SABLE – Nouvelle de Jean-François Floch, 1991

    J’avais une envie en Afrique,… Cela faisait huit mois, peut-être plus, sans doute plus. Nos chameaux étaient morts les uns après les autres, d’épuisement, de faim, de soif et d’ennui. Il était là, le regard de l’autre côté de l’horizon, le regard dans la nuit du cœur. Il m’avait tout donné ; ses silences, ses regards, sa souffrance, son sourire… Il regardait au-delà de la vie, il ne cherchait plus, il savait ! – Ne t’inquiète pas, bientôt la caravane passera ici,… tu retrouve
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